quarta-feira, 11 de abril de 2012

Namur


Parmi les coutumes, année après année, il en est une qui me tient à cœur ; c'est Namur à Pâques. Pourquoi ? Je ne sais plus très bien, l'origine se perd au fond des âges, mais il doit y avoir une histoire de chocolat là-dessous, j'imagine.

Me voici donc arpentant les ruelles, jetant un coup d'œil à la citadelle (une très bonne balade à faire, intéressante et variée), m'amusant de l'ambiance du marché (des kilomètres de stands) et visitant les boutiques (j'y reviendrai, sur ce blog, et physiquement), quand tout-à-coup j'ai croisé le chemin de la Grande Armée. Enfin, disons, un petit morceau. Tricornes, harnachement et casaques, les hussards, l'infanterie, les cantinières bien sûr, tous fidèles, tirant du fusil à la grande joie des passants (les chiens apeurés...), et fiers de défiler par la ville. Infatigables aussi, j'en ai vu jusqu'à 20 heures passées, qui n'étaient pas en guerre mais qui ne voulaient plus rentrer à la maison. Bel enthousiasme.

Mais j'ai croisé aussi le canon à confettis, et là j'ai su que lutter était inutile, et fuir peu glorieux. Je suis restée stoïque et souriante, mais bouche fermée, et j'ai compris que j'en rapporterais

- dans les magasins
- dans la chambre d'hôtel
- chez moi le surlendemain, grâce à l'étui de l'appareil photo.

Mission accomplie, j'en ai semé partout, et personne n'a trouvé à y redire.

Je reviendrai à Namur aux Pâques prochaines.

MJT

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